Aujourd’hui, on nous menace de Baudelaire, on nous dit que, lorsqu’il imprimera ses vers, Musset, Laprade, moi, nous serons dispersés en fumée; je n’en crois rien : le Baudelaire fera long feu comme le Petrus Borel, que l’on a fini par travestir en sous-préfet, en commissaire civil, en je ne sais quoi, pour lui donner à manger, entre le Tell et l’Atlas. Il en résulte que le tubercule, lorsqu’il n’est pas encore mûr, est moins bien protégé, et c’est un point qu’il faut se rappeler lorsqu’il se trouvera livré aux attaques des germes motiles, propagateurs du parasite qui cause la maladie des Pommes de terre (Phytophtora). Ce qui vient seulement appuyer cette croyance, c’est l’intervention dans la question d’un botaniste anglais, contemporain, John Gerarde, qui a publié, en 1596, un Catalogue des plantes cultivées dans son jardin, en y faisant figurer la Pomme de terre sous le nom de Papus orbiculalus, et qui a fait paraître, en 1597, un ouvrage descriptif, intitulé : L’Herbier de l’Histoire générale des plantes (The Herball of generall Historie of plants), dans lequel il donne une figure et une description de la Pomme de terre, qu’il appelle alors : Batata virginiana sive Virginianorum et Pappus Potatoes of Virginia ; ce qui peut se traduire par Patate de Virginie ou des Virginiens et Papas, Pommes de terre de Virginie

Perdrix (Potage de) aux choux. Blanchissez un choux pommé, coupé en deux ; mettez-le à l’eau froide ensuite, & le faites égoutter. Ficellez-le ; mettez-le dans une marmite avec les perdrix, du jambon & petit lard, bœuf & veau en tranches ; bardez de lard au fond, & autant dessus ; couvrez, & faites cuire entre deux feux. C’est surtout dû, sans doute, à la simple abstention du travail ; mais les traditions historiques de cette fête, ses pratiques ordinaires, et le calme qui règne partout, en font un jour si solennel, qu’un dimanche au beau mois de juin est pour moi comme un délicieux séjour de repos, une halte poétique dans le tumulte et le mouvement du monde. Ma petite, monsieur est raisonnable, dit Asie, il sait bien qu’il a soixante-six ans passés, et il sera bien indulgent. Mettez à la broche bien enveloppés de lard. Il est vrai que les déjeuners d’auberge sont bien alléchants : partout en France on trouve d’excellent lait, le beurre « sortant de la baratte » est un enchantement ; partout l’hôtelier s’ingénie et excelle en quelque plat inimitable ; « ragoût d’œufs de carpes avec des champignons, des truites, des pistaches et des câpres », ou « tourtes de queues d’écrevisses au beurre de noisette »

Très bien emballées par sac de 1kg. Produit de qualité. Si personne ne trouvera de la truffe blanche d’Alba québécoise dans les restaurants cette année ni l’an prochain, Truffes Québec entend bien proposer divers produits transformés. Ma seconde opération, monsieur le rédacteur, eut une issue bien différente. C’était de bonnes grosses lèvres rouges, à mille plis, sinueuses, mouvantes, dans lesquelles la nature avait exprimé de beaux sentiments ; des lèvres qui parlaient au cœur et annonçaient en cet homme l’intelligence, la clarté, le don de seconde vue, un angélique esprit ; aussi l’eussiez-vous mal compris en le jugeant seulement sur son front déprimé, sur ses yeux sans chaleur et sur sa piteuse allure. Son habitat se situe à des altitudes variant de 300 à 900 m au-dessus du niveau de la mer, dans des parois pierreuses très abruptes ; il préfère les sols humides mais non stagnants. Les profonds labours donnés en automne & au printemps ; l’obligation dans laquelle on eſt d’émietter, de briſer les mortes, de ſarcler, de ramener la terre ; tous les ſoins que demande cette culture juſqu’à la récolte, diviſent le sol, le fument, ſans que le laboureur ſoit néceſſité à des avances trop longues, puiſqu’elles ſont payées immédiatement par l’emploi local du produit, applicable aux hommes & aux animaux

Les cochons, si peu délicats en fait d’odeurs et de saveurs, sentent le parfum de la truffe à travers le sol : leur odorat, plus sensible que le nôtre, perçoit ces émanations subtiles. Sol très-varié. Grains, légumes et pommes de terre; mines de fer, plomb, cuivre, houille excellente, alun, etc.; gros bétail, gibier. On a de lui quelques comédies (le Flatteur et l’Impatient, 1778), ainsi que de jolis contes en vers et en prose ; mais il est surtout connu par son Voyage d’Anténor en Grèce et en Asie, 1798, 3 vol. Son isolement lui fut, au contraire, encore plus pénible au début dans cette ville nouvelle, où ce tout le monde lui semblait dépourvu d’enthousiasme. IX. – S’il y a du vide hors du monde – Chap. XXV. – De la nécessité – Chap. XVI. – Du mouvement des astres – Chap. XXIII. – Du mouvement – Chap. IX. – De la matière – Chap. XXIV. – De la génération et de la corruption – Chap. II.- En quoi diffèrent le principe et l’élément – Chap. XIII. – Quelle est la substance des astres, et comment ils ont été formés – Chap. III. – Si le monde est animé – Chap