Les hommes qui assistent à un mariage israélite gardent leur chapeau sur la tête à la synagogue. L’acte de mariage est lu à haute voix avant la signature. Un petit personnage est né, fille ou garçon, lequel, après les soins d’usage, repose dans son berceau, tendu de rose pour la future mère de famille et de bleu pour le général ou l’avocat célèbre à peine éclos. Il conviendra dans des régions sèches, où la pluie se fait rare. La déclaration de naissance doit être faite sous trois jours à la mairie de l’arrondissement par le père de l’enfant, et deux témoins français pouvant signer et étant domiciliés dans l’arrondissement où a eu lieu la naissance. Le même supplice que la pauvre Tuilzie avait souffert était devenu le sien ; au lieu de l’inquiétude morale qui, pendant son premier mariage, l’avait transformé en bourreau de la jeune fille, et que les hommes appellent du nom de jalousie, il se trouvait placé sous l’inquisition physique et inéluctable d’un œil qui ne se fermait jamais : c’était encore la jalousie, mais transformée en image palpable, l’inquisition devenue type. Il était principalement utilisé comme chien rapporteur de gibier d’eau, d’où son nom

Nous nous contenterons de citer ici les constatations que nous avons relevées dans le récent ouvrage de M. Charles Baltet, L’Horticulture dans les cinq parties du monde (1895), en faisant avec lui le tour de l’Europe. Il est donc très-important de ne point négliger le sarclage, & de séparer à temps les mauvaises herbes qui partagent la subsistance de celle sur laquelle sont fondées les espérances d’un canton ; parce qu’une fois cette opération complètement exécutée, la pomme de terre à son tour par l’épaisseur, la virulence, & l’ombrage de ses feuilles, les étouffe & les détruit en partie pour plusieurs années. En n’opérant ainsi que tardivement, on détruira les mauvaises herbes qui, à cette époque, commencent à sortir de terre : cela épargnera la dépense d’un premier sarclage et retournera en même temps la surface du sol, qui, lorsqu’il a beaucoup plu après la plantation, est souvent durcie en une forte croûte, ce qui retarde la sortie des pousses. Il s’agit d’une truffe récoltée dans des zones plus ombragées et au climat plus doux, qui reste plus longtemps dans le sol, ce qui lui confère plus de puissance dans ses qualités organoleptiques

Dans certaines régions, les truffes magiques peuvent être achetées en ligne et reçues par la poste. » Cet exemple était imité par le Piémont, car je lis dans la Bibliothèque britannique (Agric, t. Mais j’estime qu’on ne peut les manger crus, car ils sont alors âpres et indigestes ». Nous croyons devoir maintenant appeler l’attention sur ce que nous a laissé Charles de l’Escluse sur la Pomme de terre, dans un de ses derniers ouvrages, et non le moins remarquable, intitulé : Rariorum Plantarum Historia, imprimé par Jean Moretus, gendre et successeur du célèbre Plantin, à Anvers, en 1601. Il semble qu’il n’ait pas eu connaissance de ce qu’avait publié, cinq ans auparavant, Gaspard Bauhin, sur son Solanum tuberosum, ou que les retards apportés à l’impression de son ouvrage ne lui aient pas permis de modifier le chapitre consacré à ce sujet, ou bien, ce qui est plus probable, qu’il ne désirait pas entretenir de relations avec Gaspard Bauhin, car il ne cite pas ce dernier auteur

» Thomas Herriot, qui devait avoir pour mission d’examiner la contrée, et de faire connaître à ceux qui l’envoyaient la nature et les produits du sol, rédigea un rapport qui fut imprimé dans la collection des Voyages de De Bry, volume I. Dans ce rapport, à l’article des tubercules, page 17, il décrit une plante appelée Openhawk. Le P. Lachaise a laissé un Cours de philosophie en latin (Peripateticæ philosophiæ placita), Lyon, 1661. Il fut membre de l’Académie des inscriptions. Dans l’édition du Théâtre d’Agriculture, publié en 1805 par la Société d’Agriculture du Département de la Seine, et qui est accompagnée de très nombreuses notes explicatives, le texte ci-dessus d’Olivier de Serres est annotée de la façon suivante par le célèbre Parmentier. « La Société royale, ajoute Loudon, prit en 1663 quelques mesures pour encourager la culture des Pommes de terre, en vue de prévenir la famine. Donc, les Pommes de terre doivent beaucoup contribuer à adoucir nos humeurs et à les rendre meilleures. Hawkins a pu apporter la Batate, mais non la Pomme de terre. » Italie. – La Pomme de terre forme deux séries : la première récolte est pour les amateurs de primeurs ; la seconde, plus commune, arrive encore de bonne heure sur les marchés d’Europe et d’Afrique

Faisan Kotschoubey. – Cuire le faisan en casserole ; lui ajouter, lorsqu’il est presque cuit, 60 grammes de lames de truffes et nos champignons séchés crues et une cuillerée de glace de gibier, claire, bien beurrée. Chemiser de gelée un moule historié et le décorer de lames de truffes cannelées. Il est ensuite dégraissé et ajouté à la sauce d’accompagnement de la pièce. Ce mouillement sert à arroser la pièce et est renouvelé en partie s’il réduit trop vivement. » – Les Amours de Jeannette, ch., 1813. – « T’as soiffé, malheureux, Que c’en est désastreux. Et est ce pays tant plaisant et delitable et plantureux que nul bon crestien qui soit la, ne se puet doubter que il ne puist bien vivre et trouver sa soustenance. Par exemple, si un pays étranger condamnait cette méthode, on lui proposerait d’accueillir les personnes en question! La barde ne doit couvrir que la poitrine et être assez épaisse, parce qu’elle sert à protéger l’estomac qui, sans cette précaution, serait desséché quand les cuisses arrivent à la fin de leur cuisson, celles-ci étant bien plus longues à cuire. Si les volailles doivent être cloutées ou piquées, on trempe l’estomac et les cuisses dans du fonds blanc bouillant, ce qui a pour but de raffermir les chairs et de faciliter l’opération du cloutage ou du piquage