Feuilles assez profondément découpées ; dentelure large et peu aiguë ; très long pétiole. Quelquefois les feuilles partent du pétiole commun. La feuille du premier est portée par un gros et long pétiole qui se partage en cinq nervures ; gros verd, verd blanchâtre en dessous, mais sans duvet. La feuille est ample, non lobée, et portée sur un pétiole qui se divise en trois rainures principales. Me donneriez-vous pas celle-là pour trois dollars ? Deux semi-lobes divisent sa feuille en trois parties ; la dentelure de la partie supérieure plus inégale que celle des parties inférieures. Sa partie inférieure n’est divisée que par deux échancrures plus profondes que le surplus de la dentelure (Voy. même Pl. La maturité du fruit est annoncée par la couleur jaune dont il se dore. Elle est d’un verd plus pâle en dessous qu’en dessus. L’inférieure est entière. (Voyez même Pl., fig. 2.) La couleur de son feuillage est d’un verd beaucoup moins foncé, de même que son fruit. Voyez Pl. XVI, fig. 1.) Cette variété porte aussi les noms de muscadère et muscadins

Nous dirons donc simplement, pour la terminer, que toutes les garnitures, purées et sauces, qui conviennent aux viandes braisées leur sont applicables. Côte de veau aux Fines herbes. Assaisonner la côte et la sauter au beurre dans une cocotte. Ses opinions, si neuves pour la plupart, l’engagèrent dans de vives disputes avec Bayle, Arnauld, truffes noire lisse Foucher, Clarke, etc. L’année rurale 1785, ſi remarquable par l’extrême ſéchereſſe qui a occaſionné la perte d’une partie des beſtiaux, a démontré que parmi les ſupplémens recommandés pour leur nourriture, j’ai indiqué ſpécialement la pomme de terre, & elle a le plus complètement rempli les expériences, puiſque ces racines plantées bien après la saiſon, n’en ont pas moins proſpéré dans les terrains où les menus grains avoient entièrement manqué. Si celles-ci reposaient directement sur le fond, le côté placé en dessous ne prendrait pas la Saumure. Là, en effet, est une difficulté qui n’est pas de faible importance. Un chien au nez sec n’est pas nécessairement malade et un chien à la truffe humide n’est pas forcément en pleine santé. Il est néanmoins très curieux, et s’il n’était pas perdu au milieu de tant de beautés grandioses, il attirerait les voyageurs. Disposer au milieu une garniture à la Zingara

La mouiller à couvert de fonds de veau et l’entourer de nouilles à moitié pochées. Finir de pocher celles-ci avec la côte jusqu’à ce qu’elles aient absorbé tout le fonds. Dresser la côte et la napper avec cette sauce. Napper la cervelle de sauce Mornay ; glacer vivement et dresser sur serviette. La dresser dans une croûte à flan de forme ovale et de dimensions proportionnées, dont le fond sera garni d’un émincé de champignons lié à la sauce Béchamel. Dresser en turban, en intercalant chaque escalope d’un ovale de jambon maigre cru, sauté au beurre. Clouter la noix de la côte avec langue, jambon et Truffe noire du Périgord ; la cuire doucement au beurre. Assaisonner la côte et la colorer au beurre, des deux côtés, dans une casserole en terre. Dans l’article « Modes d’apprêts divers », nous résumons les dénominations des diverses préparations applicables aux Côtes de veau, qui ont été indiquées dans la Série des Tournedos, en observant toutefois que le dressage des Côtes de veau n’admet pas de croûtons. Le déglaçage de l’ustensile où ont cuit les côtes est rigoureusement nécessaire, pour les raisons que nous avons expliquées précédemment. La Côte à la Bouchère se fait généralement griller, et s’accompagne d’une garniture convenant aux côtes de veau

Mitraille : Monnaie de cuivre. Monnaie ! : (Plus que ça de) : Exclamation admirative équivalant à Quelle bonne fortune ! François gardant sa dignité de vieux drôle de bonne maison, réparait philosophiquement ce gâchis, À mesure qu’il relevait le pantalon, l’habit et le gilet, s’échappaient des plis, des fissures, des goussets, des poches, les louis neufs chantant victoire, dansant une sarabande joyeuse, roulant sur le tapis, s’échouant sous la commode, sous la table, sous les fauteuils, pavant la chambre d’un dallage de richesse mal acquise. Mort (Faire le) : Jouer le whist à trois personnes, en découvrant le jeu d’un quatrième partenaire imaginaire. ’Inde : Cheval. – « Trois poulets d’Inde et puis monsieur feraient un fringant attelage. ’humeur. Je ne connais ce monsieur que de vue ; mais je le crois écorché vif et toujours prêt à en vouloir à tout le monde de ses propres disgrâces. Qui n’a entendu crier : « V’là des mémorenci, trois sous la livre

Mes camarades s’étaient absentés, et sous la conduite d’un cicérone ils visitaient les ruines dont cette partie de la Sicile est semée. Si le produit ne porte pas de mention, ou l’étiquetage n’est pas conforme, il est probable qu’il soit importé d’un pays où le réglementation est moins stricte qu’en France. Pas du tout ! Il est sodomite. – Il a fait tuer plusieurs clercs devant lui, disant à ses gardes s’ils ne les tuaient pas du premier coup : Frappe, frappe ; Dali, Dali. Mordre (Ne pas) : Être sans force, sans esprit ou sans talent. » – Sénéchal, Ch., 1852. – « Être sur le boulevard de Gand, se donner un air milord. Les éponger et les garnir, du côté cuit, d’une cuillerée d’appareil Montglas. Les pains que j’en fis étaient même meilleurs que ceux de l’amidon de Bled, Truffes noires d’été fraîches vraisemblablement à cause d’une petite portion de mucilage surabondant. V. Crapaud. – « J’en ai assez de vos monstres de concerts